moteur in et hors bord

le public à l'écoute (photo Elise Cottencin)

L'atelier moteurs qui s'est déroulé le 15 septembre à Guidel, animé par Jugland et Yves, a été un gros succès. De St Quay Portrieux à Nantes en passant par Brest et Port La Fôret, pas moins de 27 bateaux étaient représentés ! Le compte-rendu (en cours de rédaction) des questions abordées lors de la réunion sera prochainement disponible en ligne.

Une réaction de Yves Lecomte : Merci pour la formation "moteurs" et félicitations aux deux intervenants.
Une autre de Francis Robic : Encore bravo pour la formation moteur, je m'y suis plongé dès hier HB (annexe) et IB ...

médecine en mer

Jean-Marc Le Gac présente ici les trousses médicales embarquées à bord des voliers transocéaniques (photo P. Toureille)

L'atelier médecine s'est déroulé le 20 octobre à Guidel. Il était animé par Jean-Marc Le Gac et Pierrick, médecins urgentistes à Quimperlé (29). Passionnés de plaisance, ils soignent régulièrement les marins et plaisanciers aux urgences ou participent à leur évacuation sanitaire en SMUR.
Après l'atelier moteur du mois dernier qui avait déjà réuni de nombreux participants, l'association mettait l'accent cette fois sur la prévention des accidents et comment les aborder. Elle a invité pour cela deux spécialistes en la matière, Jean-Marc Le Gac et Pierrick Jullien. médecins urgentistes au centre hospitalier de Quimperlé. Dans leur activité professionnelle, ils sont amener à soigner régulièrement des marins et à participer à leur évacuation sanitaire en SMUR.
Être confronté à une situation d'urgence médicale en mer est une composante inhabituelle à laquelle un plaisancier n'est pas toujours préparé « il suffit pourtant de connaître les procédures d'appel et les premiers soins d'urgence face à un cas de figure identifié pour qu'une situation inconnue devienne difficile à gérer » explique Jean-Marc Le Gac, et de rappeler « partout sur l'eau, l'aide médicale et les secours sont difficiles d'accès ». De nombreux thèmes ont été abordés samedi : prévention, pharmacie à bord, les pathologies, comment donner un avis médical en mer, etc. Passionnés de plaisance et de sports nautiques, Jean-Marc Le Gac et Pierrick Jullien ont créé Med-Mer, une association dont l'objectif est de former les plaisanciers aux soins à bord des bateaux. Ils participent également à la formation médicale des coureurs transocéaniques sous forme de stages.
A noter que les Amis du Sangria ont remis à cette occasion un chèque de 100 € à l'association MED-MER (présidée par Jean-Marc Le Gac), dont l'objectif est de former les plaisanciers aux soins à bord des navire de plaisance.

Une réaction d'Odile : Bravo pour la formation, c'était très intéressant.

météo

le public studieux (photo Elise Cottencin)

L'atelier météo s'est déroulé le 17 novembre Guidel. Il était animé par Pierre Calloc'h, ingénieur à Météo France, à la retraite. L'animateur a tout d'abord expliqué les objectifs de la mini formation : comprendre les phénomènes physiques influençant le temps et être capable d'analyser une carte météo, dans les grandes lignes, à la capitainerie avant de prendre la mer. En première partie, il a présenté l'organisation de Météo France ainsi que tous les paramètres pris en compte pour analyser la situation météorologique actuelle et déduire les prévisions « la météorologie fait appel à beaucoup de principes plus ou moins simples qui sont, en général, directement liés à des lois de physique » a expliqué le spécialiste, en présentant ces principes qui permettent de mieux comprendre certains phénomènes. Plus tard, il a rappellé quelques phénomènes physiques importants qui s'appliquent ainsi que les grands mécanismes des flux autour du globe avant de terminer son exposé en montrant l'interprétation que l'on peut faire à la lecture des cartes météo. Les Amis du Sangria, selon le souhait de l'animateur bénévole, remettront un chèque de 100 € à l'association Autogire

autrement, voici six clés pour comprendre, ou tout du moins essayer, la météo marine

Samedi 21 juin 2008, lors de l'inauguration du 1er autogire de l'asso de Ploeumeur (56), nous avons remis comme promis le chèque de 100 €. ci-dessous l'article paru paru dans Le Télégramme :

Autogire. L’association prend son envol

Samedi matin, de nombreuses personnes étaient invitées à découvrir l’autogire, engin volant, muni d’un rotor non entraîné par un moteur réalisé par des bénévoles de Autogire Sud Bretagne. Un autogire est un aéronef qui s’apparente visuellement à un hélicoptère. L’idée de construire cet appareil est née d’une bande de copains, emmenée par François Clément, un passionné de cette invention populaire découverte en 1923 par l’Espagnol Juan De La Cierva. Le but de cette association est d’apporter sa contribution pour promouvoir le développement populaire de l’aviation de loisir.
Réseau associatif
« Cet autogire est une œuvre portée par des passionnés ; ils ont puisé leur force dans le réseau associatif, à l’instar des rêves mécaniques de Léonard de Vinci, ils ont réussi cette belle réalisation collective », a souligné Sylvain Britel, adjoint chargé de la vie associative, de la communication, de la démocratie locale et de la citoyenneté lors de la présentation de cet engin. « Par la suite, la formation sera faite sur nos propres appareils ce qui diminuera considérablement son prix, et permettra ainsi au plus grand nombre de voler et de découvrir la Bretagne vue de là-haut », précise François Clément, président de l’association Autogire Bretagne Sud. Pour faire voler cet autogire, il leur suffit d’une plate-forme avec un terrain en herbe de 150 m avec un prolongement dégagé. Pour l’instant, les bénévoles sont à la recherche d’un terrain. Pour les aider, les Amis du Sangria de Guidel, d’autres passionnés ont remis un chèque à la nouvelle association.

Emmanuelle, Patrick, Maxime, Alain, Elise et Ronan, au plus fort de leur concentration !

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Patrick Morreau et le reste des stagiaires. Question concentration,certain (es) ne sont pas mal non plus.

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Pour commencer, nous avons découvert que ce que l'on pensait acquis ne l'est pas en réalité et que, avant de passer aux choses compliquées, il nous faut réviser des choses simples, à commencer par le demi-noeud! Celui-ci nous servira ensuite à construire un premier noeud utile : le noeud de capucin, utilisé pour surlier un bout ou pour fixer une manille sur une drisse par exemple. Et oui, c'est pour çà que l'on est venu, pour apprendre à faire des noeuds dont on pourra se resservir à bord.

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La suite est une succession de noeuds que Patrick ne présente jamais sans y ajouter leurs fonctions et les arguments qui justifient leurs utilisations par rapport à d'autres noeuds équivalents.

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Fin de matinée, après une petite séance d'épissure sur bout torroné et un long passage sur le noeud de chaise : il n' est plus question de dompter des serpents au pied d'un arbre mais de comprendre comment il est construit, voire d'apprendre à le nouer à la manière d'un pêcheur.

La petite troupe se dirige ensuite vers la crêperie pour de délicieuses et copieuses galettes, accompagnées des discussions qui vont bon train. Patrick, en grand séducteur, sort son arme secrète et commence à confectionner des bijoux aux dames et demoiselles présentes à table.		Un dessert et un café plus tard nous sommes à nouveau au boulot pour aborder cette fois-ci les épissures sur les bouts modernes. joli clair-obscur, ma foi. Rembrandt ? non, Elise

Au programme : un noeud permettant de gréer rapidement un harnais (non homologué pour la plaisance malheureusement), une étude du noeud de carrick qui nous permettra par la suite de confectionner le noeud de sifflet du bosco qui nous donnera accès à la fameuse herse à bouton du docteur la ficelle (en dynema s'il vous plaît), avec laquelle chaque participant repartira.

Certain(es) participant(es) avoueront à la fin de cette journée qu'il ne se pensait pas capable de réaliser certains des noeuds au programme. Ils y sont pourtant arrivés, preuve de la pédagogie du docteur la ficelle.

A la fin de cette journée, tout le monde est reparti la tête dans les ''nouages'', et pour ma part j'ai le plaisir de vous annoncer que, depuis ce jour, je bénis les dieux car mes lacets ne se défont plus. Merci qui ?   Personne n'aurait vu mon couteau, des fois ???

Pour le plaisir, voici quelques remarques assassines (mais toujours gentilles) auxquelles les nombreux cancres présents ce jour là ont eu le droit :
- Tu vois, quand tu t' appliques ça marche !!!
- Non mais, le bon dieu vous à donné des yeux servez-vous en !
- Quelle brute celui-là !
- Quel milieu ???? Mais des milieux y' en a qu'un !